• One Shot 8: J'ai connu pire

    Yo les gens! Voici le One-Shot que j'ai écrit pour la gagnante de mon concours de One-Shots. J'espère lavoir réussi... Dites moi ce que vous en pensez!



    Un groupe d'adolescents discutaient autour d'un feu de camp. Une odeur de Marchmallows grillés flottait et les jeunes, qui avaient environ 19 ans, semblaient absorbés par leur discussion. Ils débattaient sur ce que la vie pouvait apporter de meilleur. La plupart parlaient de leurs passions. Un d'eux s'appelait Choji, et affirmait que le meilleur dans la vie, c'était manger. Une fille blonde, appelée Ino, contestait en disant que ça pouvait faire grossir. En revanche, pour elle, le yoga était quasiment indispensable. Sa meilleure amie, Sakura, se défendait en disant que la seule et unique fois où elle en avait fait, elle avait eu des courbatures pendant deux semaines. En revanche, pour elle, les fleurs étaient une des choses les plus belles du monde. Ainsi, la conversation prenait une tournure politique, dans laquelle chaque parti s'affrontait. Un homme aux yeux blancs les arrêta. Il leur dit que pour lui, l'amour surpassait tout. Il rajouta qu'il pouvait le prouver. Ses amis, surpris de l'entendre dire ça malgré sa froideur habituelle, lui demandèrent des explications.

    "C'est une longue histoire. Et puis... Ce n'est que celle de ma vie. Celle d'un destin...
    -Mais on veut savoir! S'exclama un blond, appelé Naruto.
    -Très bien. L'histoire commence donc il y a quatre ans, le jour de mes 15 ans..."

    C'est ainsi qu'il entama, de sa voix monotone et à la fois si envoûtante, le récit de son histoire.


    Je regardais la mer devant moi. Une mer si douce, si paisible... Elle m'offrait un réconfort dans une vie morose. En effet, vivre sans mon père me pesait beaucoup. Il est mort lorsque j'avais 6 ans. Je me souviens de la dernière chose qu'il m'a dit. Il devait partir pendant deux semaines pour son travail. Évidement, Je ne voulais pas qu'il parte. Alors il m'avait regardé, de ses yeux blancs nacrés, et il m'avait dit:
    "Si ta vie devait s'arrêter à chaque fois que je pars, peut-être n'arriverais tu jamais au bout, Neji. Je ne suis pas indispensable. Et puis... Je rentre bientôt."

    Et puis je l'avais regardé s'éloigner. Mais il n'était jamais revenu. Officiellement, mon oncle me prit en charge. Mais j'étais invisible, pour lui. J'ai rapidement appris à supporter la vie comme elle était. J'allais à l'école, et je regardais la mer. Ce jour là, la mer était plate. Pas le moindre mouvement visible. On l'aurait cru arrêtée... Le soleil se reflétait dans l'eau, et moi je le regardais. Aujourd'hui encore, personne ne savait que c'était mon anniversaire. Mais la mer m'avait offert son cadeau. Comme tous les ans, elle m'avait réconfortée.

    Je rentrais donc chez moi, regardant les feuilles tomber. Mon sentiment de solitude m'avait temporairement abandonné, je me sentais libre. J'ouvris la porte du manoir, et lorsque j'en franchit le seuil, mon oncle me parla, ce qui me parut tout de suite bizarre. Bien sur, il ne me souhaita pas un bon anniversaire. De toute façon, cela n'aurait servi à rien. Son regard me rappela celui de mon père. Sauf que, dans mes souvenirs, le sien était moins froid. Il me demanda si j'avais vu Hinata. Je sentis ma solitude revenir au galop, et je répondait négativement. Pourquoi fallait-il qu'il m'aie dit ça?

    Je retournais dans ma chambre, qu'ils avaient pris la peine d'aménager dans le grenier malgré le nombre de chambres inutilisées. Je m'allongeai et m'endormis. Le sommeil... Lui aussi savait me soulager. Encore un weekend triste. Encore un sale anniversaire. Tous les ans, c'était la même chose. Je retrouvais un peu de mon moral, puis le reperdait, et m'endormais dans un sommeil sans rêve. De toute façon, j'y étais habitué.

    Je me réveillai le lendemain, premier jour de cours de la semaine. Je me préparai, puis partis vers la gare, dans mon uniforme, avec ma chemise blanche, ma veste et mon pantalon noir. Le train me déposa rapidement au centre ville, duquel je pus rejoindre rapidement le lycée. Je pénétrai dans la cour, puis montai dans la salle de cours, dans laquelle quelques personnes s'étaient déjà installées. Puis j'attendis l'arrivée du professeur. Quelques minutes plus tard, il entrait, la classe était pleine, et tout le monde se mettait à travailler. Et puis tout bascula. Quelqu'un fit coulisser la porte d'entrée et s'excusa pour son retard.
    "Shitsurei shimasu... fit la fille en saluant.
    -Prenez place, mademoiselle." dit Kakashi-sensei avant de reprendre son cours.

    Elle chercha des yeux une place vide, et la seule disponible était celle sur le bureau à côté de moi. Elle s'y installa donc. J'avais tout de suite remarqué qu'elle n'était pas d'ici. D'abord elle n'était jamais venue à ce lycée qui était le seul de la ville, et ensuite, elle avait les yeux... différents. Ils étaient larges et noisettes, comme ceux d'une européenne. Mais son accent n'avait rien d'européen. Il avait plutôt l'air... chinois. Elle devait être chinoise, d'origine européenne.

    Je décidai, je ne sais pas pourquoi, de lui parler.
    "Ohayo gozaimasu, dis-je en m'inclinant.
    Ohayo, me répondit-elle simplement.
    -Je m'appelle Neji. Heureux de te connaître.
    -Moi, c'est Tenten. Enchantée.
    -Tu es chinoise?
    -Oui.
    -C'est un beau pays, la Chine.
    -Je préfère le Japon. C'est pour ça que je suis là!
    -Un peu de calme, s'il vous plaît! bougonna notre sensei.
    -Hai. Sumimasen', répondis-je.
    -Sumimasen'
    -Bienvenue au Japon, chuchotai-je
    -Merci."

    A midi, elle mangea toute seule, et moi aussi. Mais je ne pus m'empêcher de la regarder faire. Elle ne cessais pas de remettre en place une des rares mèches de cheveux qui n'était pas prise dans un de ses deux chignons. Elle me fascinait. Et puis... Elle ne m'avait pas trouvé invisible. Elle m'avait vu, elle m'avait sourit, elle m'avait parlé... Après les cours du soirs, je m'allongeai sur mon lit une fois de plus, mais un sourire discret s'était installé sur mon visage. La vie m'avait enfin offert un cadeau, le plus beau qu'elle aie pu me faire.

    "Arigato... murmurais-je."

    Le soir, je mangeai, puis retournai dans ma chambre, puis je me mis à travailler. Cette nuit là, après m'être couché, je rêvai. Je rêvai que j'avais une amie. Je me réveillais toujours avec le même petit sourire, mettais mon uniforme, prenais le train, rentrais dans le lycée, montais dans la salle de cours, attendais... Tous les jours, la même chose. On discutait un peu, on avait échangé nos numéros de portables... Le monde commençait à reprendre de la couleur. Nous nous rapprochions beaucoup.

    Mais un jour, elle me regarda droit dans les yeux et elle me dit:
    "Je ne veux plus te voir.
    -Pourquoi ça?, m'étonnai-je.
    -Parce que... J'ai peur...
    -Peur? Peur de quoi?
    -Je... Je ne sais pas.
    -Tu ne me fais pas confiance?
    -Si, bien sur... Ça fait six mois qu'on ce connaît, t'es mon seul vrai ami ici, alors... J'ai peur que malgré nous... Enfin...
    -... Je comprends. Dans ce cas, je ne te parlerai plus.
    -Je... Je suis désolée, Neji.
    -Ne t'en fait pas. J'ai connu pire."

    C'était vrai. Mon père était mort, c'était bien pire. Mais ce qu'elle m'avait dit m'avait immédiatement refroidi le c½ur. Je perdis à nouveau toutes les émotions visibles que j'avais. Au lieu de marcher avec elle comme je le faisais d'habitude, je rentrai directement chez mon oncle. Je m'arrêtai devant la porte. Non. Je ne voulais pas rentrer. Cela n'aurait servi à rien. Alors à nouveau, je m'éloignai du manoir et marchai vers la mer.

    Je m'assis sur le ponton et regardai les vagues qui n'étaient certes pas très haute, mais qui semblaient aussi en colère que moi. Je ne voyais même pas mon reflet. Bientôt, la nuit tomba, et je restai dans ma contemplation. Petit à petit, la mer se calma. La lune éclaira un reflet qui n'avait jamais été présent auparavant.

    "Qui est là? Demandai-je."

    Le reflet disparut, et je sentis une goutte d'eau fraîche me tomber sur le visage. Je levai la tête et vit les nuages noirs qui commencèrent à cacher la lune. D'autres gouttes tombèrent, et bientôt, une pluie battante s'abattait sur la mer. Je restai tout de même là. Je ne voulais pas partir. Pas tant que je n'étais pas apaisé. Je me sentais trembler. La pluie me gelait. Mais il ne fallait pas que je parte. Le vent souffla froidement sur moi. Mais il ne fallait pas que je parte. Ma tête me fit mal. Plus rien n'était stable. Je tombais dans la mer.

    Je ne distinguai plus le haut du bas. Je ne savais plus dans quel sens nager. Je sentit petit à petit l'eau pénétrer dans mes poumons. Je suffoquais lentement, mes yeux le brulaient... Et je pensais, sans savoir pourquoi, que j'aurais voulu la voir une dernière fois me sourire. Mon cerveau s'arrêta. Je ne réfléchissait plus. Je me sentis attrapé et tiré. J'entendis vaguement une sirène et des gens s'agiter autour de moi. Puis plus rien.

    Je me réveillai dans une chambre d'hôpital. Je ne sentais plus aucune force en moi. J'étais vidé. Je ne pouvais plus bouger. Il me semblait voir la lumière du jour pénétrer dans la salle par une petite fenêtre. J'émis une sorte de gémissement. Quelqu'un bougea à côté de moi. Je sentis une main se poser sur la mienne. Je n'eus pas besoin de regarder pour savoir de qui il s'agissait.

    "... Hinata...
    -Tu vas bien, Neji?
    -Je... Qu'est-ce... Qu'est-ce qu'il s'est passé?
    -Il n'y a que toi qui sait. Quelqu'un... Quelqu'un a appelé les secours et ils t'ont retrouvé dans l'eau.
    -Ah... Oui... Je me souviens... Je... J'ai du m'évanouir...
    -Ça va mieux?
    -C'est nouveau que tu t'intéresses à moi.
    -C'est pas ça... Je... Je suis... plutôt timide de nature. Mais même si tu es mon cousin, je te considère comme mon frère.
    -Hm. Si tu le dis...
    -Alors?
    -Hm. Ouais.
    -Tant mieux... Je suis rassurée..."
    Elle marcha vers la porte, mais je l'arrêtai avant qu'elle parte.
    "Hinata!
    -Ou... Oui?
    -Merci, petite s½ur..."
    Elle sourit et s'en alla. Quelqu'un d'autre s'intéressait à moi. Finalement, peut-être que j'avais une chance d'être heureux...

    Je pus finalement sortir de l'hôpital. Je me dirigeai vers chez moi, habillés des vêtement que Hinata m'avait apporté. Je constatait avec un léger soulagement que mon portable était intact. Mais la coque étanche, elle, était presque fichue. Je l'enlevai et m'apprêtai à le ranger dans ma poche lorsqu'il vibra dans ma main. Je regardai le numéro. Tenten... Je pris une inspiration et décrochait.

    "Moshi moshi. (Allô?)
    -Neji-san? C'est Tenten.
    -Je croyais que tu ne voulais plus me parler?
    -Oui... Je suis désolée... J'ai beaucoup réfléchi et... J'aimerai qu'on se voit...
    -Bon. Si tu y tiens. Où?
    -Et bien... Au parc, ça te vas?
    -Bien sur. Tout à l'heure?
    -Est-ce que... Tu es libre maintenant?
    -Hm. Si tu veux.
    -D'accord. À tout de suite.
    -D'accord."

    J'y ai donc été. Je me suis assis sur le banc et j'ai attendu. Elle est arrivée rapidement. Elle m'a salué, je l'ai saluée. Elle s'est assise, je me suis rassis. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Mon c½ur battait au point que mes tempes étaient douloureuses. J'avais des frissons. Je fixais ses grands yeux marrons. Elle me parla. Je lui répondit. Par respect pour elle, je ne pourrais pas dire ce qu'elle m'a dit. Mais ce jour là, j'ai compris que j'étais amoureux. Elle m'a décrit ses sentiments, la manière dont elle voyait les choses... J'ai fait pareil. Et nous nous sommes embrassés... Ce simple contact entre nos lèvres a eut l'effet d'un choc thermique. Mon c½ur, si froid, s'était réchauffé d'un coup.

    "C'est grâce à ça que j'ai pu me faire des amis comme vous. Sans elle, vous ne me connaitriez surement même pas.
    -Et cette Tenten, demanda Ino, qu'est-ce qu'elle est devenue?
    -Elle est retournée en Chine. On s'est juré qu'on se retrouverai, elle m'a promis de revenir."

    L'ambiance se fit momentanément plus silencieuse. Neji en profita pour s'allonger, son Marchmallow grillé dans la bouche, et pour penser:
    "Tenten... Merci de m'avoir sauvé des ténèbres. Aishiteiru..."

    Les étoiles brillantes semblèrent prendre la forme d'un visage aux grands yeux et aux deux chinions. Neji ferma les yeux. Elle l'avait rendu définitivement heureux...




    Et voilà! Alors? Il est bien?

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  • Lorsque Kyora entra chez elle, la télévision était allumée, et sa mère lui sauta littéralement dessus.

    La mère: Kyora! Ma fille! Tu vas bien?

    Kyora: Hai, hai, Okasan'.

    La mère: Ce que je suis soulagée... J'ai entendu aux infos qu'un tueur avait tenté de viser une jeune fille qui te ressemblait...

    Kyora: C'était bien moi... Mais j'ai eu beaucoup de chance. J'ai glissé, je suis tombé, et... du coup il m'a raté, je pense. Je me suis cachée dans une ruelle, mais personne ne m'a suivit. J'ai donc finit par sortir, et il n'y avait plus personne. Alors je suis rentrée.

    La mère: Oh... Ma chérie... J'imagine que ça à été dur...

    Kyora: Non ça va. Sur le coup j'ai rien comprit à ce qui se passait... Alors... L'important, c'est que je devienne pas parano...

    La mère: Tu dois faire attention quand même...

    Kyora: Tu sais ce qui est arrivé au tueur?

    La mère: Non... Pas du tout... Mais... Ils en parlent,, là! Regarde!

    La télévision: ... En effet, plusieurs témoins ont dit avoir aperçu Suichi Morokiyo. La police a rapidement retrouvé sa trace. Cependant, après avoir remarqué qu'il était repéré, le tueur a tenté de tirer sur ses poursuivants. Deux représentants des forces de l'ordre ont été blessés, mais aucun d'eux ne risque la mort. En revanche, profitant de la fusillade, un des policiers aurait contourné le malfaiteur et aurait tenté de l'assommer avec sa matraque. Malheureusement, le coup a été porté à la nuque, tuant sur le coup Suichi-san. La jeune fille n'aurait pas été touchée, d'après les témoins. Elle se serait cachée puis enfuie. Cependant, on peut dire que le fait qu'elle soit tombé du trottoir est une provocation du destin, étant donné que la rue...

    Kyora: Alors il est mort...

    La mère: Un de plus... Un de plus... Les criminels meurent tous un à un, de toute façon...(Elle part vers la cuisine)

    Kyora: (Tout bas) Au fait, Raito-san...

    Raito: Oui?

    Kyora: Je ne t'ai pas remercié, tout à l'heure...

    Raito: Si, tu m'as serré dans tes bras, et tu m'as dit 'Arigato, Raito-san'.

    Kyora: Non. Je parle de quand tu m'as sauvée. Je t'ai remercié pour m'avoir remonté le moral, mais pas pour m'avoir sauvée.

    Raito: Bah. C'est norm...

    Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Les lèvres chaudes de Kyora s'emparèrent des siennes, à la grande surprise de celui-ci. Là, tout devint clair...

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    Flashbacks
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    Kyora: Je... Je suis Hugayo Kyora.

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    Kyora: J'attends cet instant depuis que j'ai lu le message que tu m'as envoyé!

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    Kyora: Faut croire que j'ai un bon mentor!

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    Kyora: (Sourit) Alors ce sera Raito-san...

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    Kyora: Arrête de tuer alors, s'il te plait.

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    Kyora: Je hais les humains et leurs principes...

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    Kyora: Non... (Relève la tête) Je le fait pour NOTRE monde!

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    Kyora: Arigato, Raito-san. (Elle le serre dans ses bras.)

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    Fin des Flashbacks
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    Ouf... Enfin, j'ai fini les copiers coller... J'ai publié une dizaine de chapitres, quand même... Enfin... J'espère que ça vous plait, quand même...

    Aller, bonne journée à tous et à toutes!

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  • Kyora n'en croyait pas ses oreilles. Il avait failli mourir? Cela avait-il un rapport avec l'ouverture du cahier quelques secondes avant le coup de feu? Pourquoi n'avait-il pas tué le tireur tout de suite s'il l'avait vu? Était-ce lui qui avait un Shinigami? Elle ne savait pas. Elle ne pouvait pas savoir à moins de demander. Donc, elle demanda.

    Raito: Et bien... D'accord. Je vais t'expliquer. Les Shinigamis doivent tuer les humains. Leur rôle est de raccourcir leurs vies. La rallonger est complètement stupide. Un Shinigami est mort sous mes yeux en rallongeant la vie de quelqu'un. Se servir de la Death Note pour sauver quelqu'un... est proscrit. On tue pour tuer. Pas pour sauver.

    Kyora: Alors tu as faillis mourir? À cause de moi?

    Raito: Oui.

    Kyora: (Baisse la tête.)Sumimasen'... Tu avais raison... J'ai eu tort de prendre ça à la légère... Je... Je devrais renoncer à ma Death...

    Raito: Kyora! (Lui prend le visage entre ses mains) Écoute-moi! Tu es Kira! Je suis Kira! Nous sommes Kira! Ensemble, nous sommes Kira. Si tu renonces maintenant, tous les rêves que j'ai bâtis pour ce monde, et qui sont devenus les tiens, et ceux de milliards d'autres personnes vont disparaître. Si tu abandonnes, c'est vrai. Tu ne vas pas mourir. C'est Kira, qui va mourir. C'est un monde de paix qui va mourir. Tu m'entends? Tu veux vraiment tuer ce rêve? Tu veux vraiment abandonner maintenant? Tu veux renoncer à te Death Note et ne plus jamais pouvoir te dire que le monde va changer? Tu veux que ce monde reste dans la même merde?

    Kyora: (Renifle) Non...

    Raito: Alors ne renonce pas. Fait-le pour ton monde!

    Kyora: Non... (Relève la tête) Je le fait pour NOTRE monde!

    Raito: (Sourit) Dans ce cas, au nom de NOTRE monde, lève toi, et sauve le!

    Kyora: Arigato, Raito-san. (Elle le serre dans ses bras.)

    Raito: (Surpris) D... De rien, Kyora-san...


    Kyora le lâcha finalement pour rentrer. Ils marchèrent, mais cette fois, elle ne fut que plus prudente. Raito, quand à lui, ne savais pas à quoi penser ni comment. Il voulait la remotiver, mais il ne s'attendait pas à ce qu'elle réagisse comme ça. Et lui alors? Pourquoi n'avait-il pas réagit? Probablement pour ne pas la démotiver... En tout cas, c'est ce qu'il se dit pour se rassurer. Il fut cependant rassuré d'être arrivé chez Kyora. Il avait failli mourir, elle avait failli mourir... Même mort, la mort effraie encore...

    Raito: "Ce que c'est dur d'être un Shinigami..."

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  • Kyora revenait du lycée. Bien sur, comme d'habitude, Raito suivait derrière, observant chaque détail. Rien ne devait lui échapper. Rien. Ce qui amusait Kyora.

    Kyora: (Chuchote) Tu te méfie trop, Raito-san.

    Raito: Humain, je ne me suis pas assez méfié. C'est comme ça que je suis mort.

    Kyora: N'importe quoi. Tu es mort à cause de ton orgueil. J'en suis sure. C'est comme le fait que tu veuilles absolument que ce soit moi qui tue Near.

    Raito: Ce n'est pas mon orgueil. C'est l'honneur du plus respectable des ennemis.

    Kyora: Hm... Tu as peut-être raison...

    Raito: ... Ou pas...

    Kyora: Déshonorer, c'est impardonnable. Je comprends que tu veuilles le punir, et même te venger en disant que Kira à tué Near comme il à tué L.

    Raito: Mais?

    Kyora: Mais si tu le tues, il ne nous posera plus jamais de problèmes.

    Raito: L'ennui c'est que... si je le tue, tu vas mourir.

    Kyora: Comment ça?

    Raito: Le Shinigami de Near... Si je le tue, il saura que c'est moi. Et il va te tuer pour se venger. Alors que si tu le tues à la loyale, il admettra sa défaite...

    Kyora: Je hais les humains et leurs principes...

    Raito: D'abord, je ne suis pas un humain, et ensuite, tu commences à penser comme un Shinigami...

    Kyora: C'est peut-être mieux comme ça. Et puis... Je n'ai jamais dis que je te haïssais, toi.

    Raito: Ouais... Tant mieux, ça marchera mieux comme ça...

    Kyora: Ben ouais. Je crois aussi.


    Kyora marcha encore. Mais, d'un coup, sans qu'elle sache pourquoi, Raito sortit sa Note et l'ouvrit, mais s'arrêta avant d'écrire quoi que se soit dedans.

    Raito: "Merde..." Attention Kyora! (Il la pousse et elle tombe)

    (Coup de feu)

    Une dame: Là bas! C'est le tueur recherché par la police!

    Kyora: "Suichi Morokiyo..." (Elle court se cacher)

    Suichi Morokiyo

    Un policier le frappe pour le maîtriser mais le tue sur le coup


    Kyora: J'ai... J'ai failli mourir...

    Raito: Tu n'es pas la seule...

    Kyora: Mais... Si tu m'as poussée, c'était pour ne pas que je soit touchée. Donc c'était moi qu'il visait, non?

    Raito: Si, mais moi aussi, j'ai failli mourir...

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  • Yuusuke était dans sa chambre, effrayé à l'idée qu'en sortant, Kira pourrait le tuer. Il écrivait des noms de criminels, les uns après les autres, sans vouloir savoir s'ils mourraient ou pas.

    Yuusuke: "Je suis maudit... Je suis maudit... Je suis maudit..."

    Hyaro Gokyshi

    Yuusuke: "Je suis maudit... Kira va me tuer... Je veux vivre..."

    Nagasuke Mahoubin'

    Yuusuke: "Sumimasen' Okasan'... Je croyais pas que tu allais mourir..."

    Koutetsu Jiyoyuu

    Yuusuke: "Sumimasen', Kira... Je voulais pas le faire..."

    Asuka Nenrei

    Ryuuku: Eh! C'est quoi cette tête d'enterrement?

    Yuusuke: Oh non... Pitié... Rajoute pas de jeux de mots...

    Ryuuku: Tu trouves pas ça marrant?

    Yuusuke: Non.

    Ryuuku: Moi je trouve ça à mourir de rire. (éclate de rire)

    Yuusuke: J'en ai ma claque! Vas-y! Tue moi! J'en ai marre!

    Ryuuku: Vraiment? D'accord.

    Kimoshi Yuusu...

    Yuusuke: Attends! Non! Ne me tue pas!

    Ryuuku: Ah bon? Faudrait savoir.

    Yuusuke: Désolé. Je pensais que tu ne le ferais pas.

    Ryuuku: Me crois tu vraiment si attaché à toi? Ça me tue que tu puisse imaginer des trucs comme ça.

    Yuusuke: Et tes jeux de mots sont à MOURIR d'ennui.

    Ryuuku: Qui sait... C'est peut-être mieux que de mourir par crise cardiaque...

    Yuusuke: Pfff...

    Iku Washi

    Mort d'ennui


    Ryuuku: Ha! Je savais que tu le ferais. Finalement, donner la mort n'est pas si terrible.

    Yuusuke: Tu avais raison... Avec un peu d'humour, c'est un peux plus facile.

    Ryuuku: Mon ancien propriétaire de cahier n'avait aucun problème de ce côté là. Il était tellement heureux qu'il m'a affirmé que c'était une chance.

    Yuusuke: Il devait être un peu psychopathe, non? Il s'appelait comment?

    Ryuuku: Je suis interdit de te dire comment il s'appelait. Un humain, même mort, est un humain. Mais son pseudonyme, pourquoi pas... C'était Kira.

    Yuusuke: Vraiment? Alors comment Kira continue-t-il de tuer, sans ton cahier?

    Ryuuku: C'est confidentiel. Désolé.

    Yuusuke: Pfff... Quel manque de chance...

    Ryuuku: Hn?

    Yuusuke: D'abord je reçois une Death Note, et en plus, le Shinigami qui va avec est vraiment inintéressant.

    Ryuuku: Je ne t'ai pas particulièrement choisis. Mais je pourrais vite en finir.

    Yuusuke: Ouais... Je sais...

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