Yo! Voici le chapitre 14! Dorénavant, les chapitres seront un peu plus longs. En effet, jusque là ils faisaient en moyenne une page et demi, et celui là fait un peu plus de quatre pages. En effet, on m'a dit qu'il était préférable que je fasse des chapitres plus longs, alors pas de problèmes. Et même, ça tombe bien, parce que je vais avoir de plus en plus de choses à dire. (On devrait aussi d'ailleurs avoir quelques petits "Commentaires de l'Auteur" au milieu des dialogues xD Enfin vous verrez bien.

En attendant, bonne lecture pour ce chapitre!




Pendant ce temps...

Naruto: "Tout seul... Il vaut mieux que je trouve quelqu'un de facile à battre pour commencer, dattebayo...

...: Na... Naruto-kun?

Naruto: HEIN??? Ah, c'est toi, Hinata... Tu... Tu veux te battre?

Hinata: I... Iie... (Non)

Naruto: Ah... Parce que ça m'aurait dégouté de t'éliminer, dattebayo! ^^

Hinata: "Naruto..." Est-ce que... On pourrait... Se mettre ensemble? Je veux dire... Faire équipe?

Naruto: Hein? Et bien... Pourquoi pas... Mamie Tsunade a dit qu'on pouvait-tebayo!

Hinata: Alors tu...Tu veux bien?

Naruto: Et ben... Elle a aussi dit qu'on pourrait pas gagner tous les deux...

Hinata: Alors... On se partagera le nombre de points au bout de la première journée! D'accord?

Naruto: Hai! Dans ce cas, ça me va, dattebayo!

...: Mais ça ne vous sera pas d'une grande utilité!

Naruto: Hein? Qui c'est? Il est où?

Hinata: Byakugan!

...: Inutile! (Elle tombe devant eux) C'est moi.

Naruto: Shizune...

Shizune: Hai!

Naruto: On peut le faire, Hinata!

Hinata: Hai!

Shizune: Shikomi Shindan! (Cinq senbons sont projetés vers Naruto)

Hinata: (Se place devant Naruto) Shugo Hakke Rokujuyon Sho! (Elle bloque les aiguilles avec une barrière de chakra)

Naruto: Kage Bunshin no Jutsu! (Deux clones d'ombres apparaissent derrière Shizune)

Naruto 2: Rasengan!

Shizune: Trop lent! (Saute sur le côté)

Naruto: Hinata!

Hinata: Hai! (Passe derrière Shizune pendant son saut) Hakke Sanjuni Sho! (Frappe 32 fois sur Shizune)

Shizune: Pas... Pas mal... Mais... Ce n'est pas tout... Et ça ne suffira pas...

(Pouf)

Naruto: Un clone d'ombre, dattebayo???

Hinata: Je ne suis pas étonnée... Elle... n'avait pas beaucoup... de chakra...

Naruto: Tie kuzo! Montre toi, Shizune! On peut très bien te battre!

Shizune: (Plus loin) J'en doute. Mais vous pouvez toujours essayer.

...: (Derrière elle) On est bien parti!

Shizune: Hein? (Se fait frapper par un clone d'ombre)

Naruto 3: Ne nous sous estime pas!

(Pouf)

Naruto: (Fonce vers elle en lançant deux kunais) Tu ne gagneras pas!

Shizune: (Lance deux senbons, qui dévient légèrement les kunais) Nous verrons.

Naruto: Comment elle a fait ça?

Hinata: N'oublie pas que c'est une Junin de rang S.

Naruto: Peu importe, dattebayo! On ne perdra pas! Taju, Kage Bunshin!

(1000 fois pouf)

Naruto:Shihōhappō Shuriken! (Tous les clones lancent des shurikens vers Shizune)

Shizune: Kawarimi no Jutsu! (Tous les shurikens se plantent dans le bout de bois, à la place de Shizune)

Hinata: Derrière toi, Naruto!

Shizune: Shosen no Jutsu! (du chakra enveloppe la main de Shizune, qui tente de frapper Naruto)

Naruto: (Saute et se retrouve au dessus de Shizune) Chakura no Myaku! (Impulsion de chakra)

Shizune eut juste le temps de se retourner avant que du chakra pur ne lui tombe dessus, l'assommant un peu, juste assez pour qu'Hinata puisse lui couper son flux de chakra. Elle secoua la tête, et se rendit compte qu'elle était maitrisée. Comment était-ce possible? Seul Neji était capable de projeter su chakra pur par la paume de la main, mais cela lui demandait un effort extrême. Comment le petit Naruto pouvait-il avoir fait ça?

Shizune: C-Comment...

Naruto: (Les yeux rouges) Arigatō, Kyūbi-san.

Hinata: "Naruto-kun... Quelle force... Jiraya t'a vraiment bien entraîné... Même Kyūbi t'obéis..."

Shizune: T-Tie kuzo!

Naruto: (Les yeux à nouveau bleus) Bon, je crois qu'on a droit à tes cristaux!

Shizune: ... Hai... (Sort un rouleau) Ils sont scellés dedans.

Naruto: Yatai! Bien joué, Hinata-chan, dattebayo!

Hinata: Matte kudasai! (Attends!) Il est peut être piégé.

Naruto: Ah... Hai... Comment on peut faire?

Hinata: Ē to... Je peux regarder s'il y a un sceau piégé... Byakugan!

Naruto: Alors? C'est bon-tebayo?

Hinata: Iie. Il y a bien... un sceau piégé.

Shizune: Kaso...

Naruto: Alors on peut faire quoi?

Hinata: Prenons... le rouleau comme il est...

Naruto: Ok. On trouvera bien un moyen!

Hinata:...

Naruto: (Cours vers l'avant, puis s'arrête) Hinata-chan?

Hinata: Hai?

Naruto: Tu as été géniale, dattebayo.

Hinata: Ano... Arigatō...

Naruto: Aller! Si on a battu Shizune, on va bien pouvoir battre d'autres ninjas!

Hinata: Hai! "Naruto-kun..."







Et voilà! A très bientôt j'espère, et, comme d'habitude, n'oubliez pas de dire ce que vous en pensez, afin que je puisse progresser!

Tchous'

Yo! Oui, je sais, le titre est long. Et c'était galère à formuler! (Je suis pas sur que mon japonais soit très correct... Je l'espère cependant ^^) Mais l'important, c'est que le chapitre est là!!! Alors voilà, bonne lecture!



Une nuit calme, avec une lune pâle... De faibles bruits dans le silence absolu... Une maison dont toutes les lumières étaient éteintes... Johan y dormait paisiblement. Depuis une heure environ. Jusqu'à ce qu'il sentit quelque chose sur son épaule. Ça semblait assez long, pas trop large, et très doux. Il mit un moment à comprendre, dans son sommeil, que c'était une main. Cette révélation l'en tira d'ailleurs...

Johan: Hm... Qu'est-ce qu'il y a?

...: (Chuchotement) Réveille toi!

Johan: Hm... C'est qui...

...: (Chuchotement) Chut! C'est moi! Uindoko!

Johan: Uindoko?

Son cerveau se réveilla immédiatement, pour cogiter.

Johan: "J'ai dormi, mais je suis encore dans mon rêve... Ou bien suis-je en train de rêver?"

Uindoko: (Chuchotement) Aller! Secoue-toi!

Johan: (Se lève en silence) ...

Uindoko: (Chuchotement) Suis moi!

Johan la suivit, non sans remarquer que le futon du côté opposé, qui était vide à la base, semblait être utilisé. Sans doute par Gōryoku. Il marcha doucement vers la porte, et, en la refermant, il crut apercevoir une légère lueur rouge qui venait du futon... Sans doute avait-il rêvé. Ils sortirent de la maison en silence, et se dirigèrent vers l'aire d'entraînement. Ils s'assirent chacun sur un des trois rondins de bois qui étaient plantés, et commencèrent une discussion que Uindoko semblait avoir à c½ur...

Uindoko: Comment tu sais tout ça?

Johan: De quoi?

Uindoko: Tout ces trucs sur mes parents, sur les autres ninjas, sur Konoha, sur moi...

Johan: Et bien... "Je ne peux plus me cacher... Je ne peux pas lui mentir... Comment lui dire ça?" C'est... assez compliqué... Et à vrai dire, c'est difficilement croyable...

Uindoko: J'ai une technique qui permet de savoir si tu mens ou pas. Zetsutaiteki Shinri no Jutsu! (Technique de la Vérité Absolue)

Johan: Alors voilà. Je viens d'un autre monde.

Uindoko:...

Johan: Dans mon monde, vous faites tous partie d'une histoire, dont le nom est celui de ton père, Naruto. Il en est le héros principal.

Uindoko:...

Johan: Et... Certains auteurs ou dessinateurs se plaisent à écrire des histoires avec lui et ses amis, qui n'ont, parfois, rien à voir avec votre histoire.

Uindoko:...

Johan: L'une de ces histoires vous à fait apparaître, toi, Gōryoku, et Aimaru.

Uindoko: ...

Johan: Et... Moi, à l'aide d'un manga, j'ai continué cette histoire... Mais je ne sais pas comment ça s'est produit, mais à chaque chapitre que je dessine, d'abord, je ne fais que le commencer, puisqu'il se termine tout seul, et ensuite, dès que je m'endors, et bien... Je me retrouve ici.

Uindoko: Alors quand tu disais que tu venais du pays que je connaissait pas...

Johan: La France.

Uindoko: Ano... Peut-être... Mais, c'est un pays qui appartient à cet autre monde, c'est ça?

Johan: Oui.

Uindoko: Et bien... Il semble que je doive te croire...

Johan: S'il te plait... Ne le dis pas aux autres.

Uindoko:... Très bien...

...: Tu crois vraiment ce qu'il te dit?

Uindoko: Gōryoku...

Gōryoku: C'est absurde. Tu peux le prouver?

Johan: Absolument pas. J'ai menti de A à Z.

Uindoko: "Ah... Là, il ment, je le sens..."

Gōryoku: Alors répond à la question.

Johan: Et bien... Non. Je ne veux pas.

Gōryoku: (Se rapproche de lui) Tu ne vas pas avoir le choix.

Uindoko: (Se place en un éclair devant lui) Non. Ne fais pas ça, Gōryoku-san.

Gōryoku: (Continue d'avancer) Oh que si. (Passe à côté de Uindoko) Je vais me faire un plaisir de...

(Fschi)

Gōryoku: (Tombe sur le sol) de le... (s'évanouit)...

Johan: C'était quoi, ça?

Uindoko: Une technique de mémoire. Il va se réveiller sur son futon, et sera persuadé de n'être jamais venu.

Johan: ... Le fait est que, même en étant "mes personnages", je n'ai pas un grand contrôle sur vous.

Uindoko: Tu ne connais pas nos techniques, c'est ça?

Johan: Oui... Mais je pourrais quand même vous ordonner de faire des choses.

Uindoko: Ouah... Et tu pourrais même changer nos sentiments?

Johan: Probablement... Tu veux que Gōryoku tombe amoureux de toi, c'est ça?

Uindoko: (Rougit) Oui... Tu ferais ça?

Johan: Et bien... Je ne sais pas... Puisque vous êtes un monde qui se développe tout seul, je ne pense pas devoir intervenir. Si vous devez être ensembles, vous le serez assurément.

Uindoko: Mais... à quoi te sert-il d'être auteur si tu laisses tout se faire tout seul?

Johan: Et bien... (Biiip Biiip Biiip) "Hein? Uindoko?"


Il se rendit compte qu'il était assis sur son lit. Il éteint son réveil, et, comme d'habitude, se prépara. Une fois en cours, il se concentra sur son dernier "devoir d'adieu" de mathématiques, qu'il finit avant les autres, comme d'habitude. Il rendit sa copie, et réfléchit. Que pourrait-il bien répondre à Uindoko? Il n'avait pas envie qu'elle soit avec Gōryoku. Tout auteur sait que lorsque on a pas envie de mettre deux personnages ensembles, on ne le fait pas. Mais quand on connait personnellement ses personnages, c'est toujours plus compliqué...

Il regarda l'heure sur son portable. Encore un quart d'heure à attendre. Il cogita un court instant.

"Je suis au fond. Tout le monde se concentre sur son contrôle. Le seul qui serait en mesure de me voir serait le professeur. Si j'ai les yeux fermés, il pensera que je dors, et n'auras pas l'idée de regarder mes mains qui seront derrière le bureau... Oui, je pense que je peux le faire."

Il appuya la tête contre le mur qui était à sa droite, ferma les yeux et... tendit son index et son majeur sous la table. Il sentit son chakra à l'intérieur de son corps. Il essaya d'en faire venir encore, et encore, et encore. Il entendit à peine la sonnerie. Mais lorsqu'il l'entendit, il se leva, prit son sac, et, lorsqu'il s'aperçut qu'il courrait presque vers la sortie, alors qu'il marchait tranquillement, il essaya de se calmer. Marcher normalement... Sans aller trop vite... Personne ne l'avait vu? Non. Tout allait bien. Le prof était en train de ramasser les copies et les élèves de terminer leur devoirs ou ranger leurs affaires. Il fallait qu'il fasse attention. Tout ce qui est magique donne ce besoin de secret. Pas question que quelqu'un sache qu'il faisait lorsqu'il dormait.

Il sortit de la salle, et s'assit sur un banc. C'était l'heure où il avait un trou en même temps que Yanis. Vous l'aurez aisément compris, Yanis et Johan étaient, autant qu'ils le pouvaient, souvent ensembles. Mais il ne vint pas. Il envoya donc un SMS, et son ami lui répondit rapidement.

"dsl, je vé pa venir tt 2 suite. Je texplikrai. Rdv ds une demi heur o ban."

Johan savait très bien ce que ça voulait dire. Nouvelle copine en vue... De ce côté là, Yanis était très fort... S'il souhaitait qu'il y aie quelque chose avec une fille, ça arrivait souvent... Mais il ne concrétisait jamais, car il était certain que lorsqu'il aurait trouvé la bonne, ça serait différent. Il le sentirait. Et oui, avec Yanis, lorsqu'on ne le connait pas, on est facilement étonné. Excellent dragueur, mais très respectueux. Il trouvait toujours le moyen pour ne blesser personne, et c'était là le plus étonnant...

Toujours est-il que s'il ne venait pas tout de suite, Johan avait du temps libre. Il fallait qu'il trouve quelque chose à dire à Uindoko. Et puis... Allait-il le faire où pas? Évidement, la réponse ne vint pas d'elle même. Il choisit de lui demander des arguments. Pourquoi le ferait-il? Bonne idée. Il n'aurait ainsi pas à prendre la décision de suite. Il verrait sur le moment. Ce détail réglé, il sortit son manga de son sac, et l'ouvrit. Il regarda les quelques pages auto-dessinées. Intéressant... Préparation du piège, avec des genjutsus basiques semblant "de sécurité" doublés de genjutsus plus fins, permettant normalement d'échapper à la "vision" de leur poursuivant... Il sortit son matériel de dessin.

Sasuke: "Neji! Aimaru! Faites signe aux autres! Il n'est pas loin!"

Aimaru: (Fais un signe à Sakura)

Sakura: (Malaxe son chakra) "Yosh..."

Neji: (Fais une ombre chinoise)

Shikamaru: "C'est le signal... Kage Mane no Jutsu!"

Neji: "Son ombre a bougé... Elle se rapproche de celle de l'inconnu... Là!"

Shikamaru: C'est bon je l'ai! A toi!

Neji: Hai! (Saute de sa branche) Juken Wo Hakke Rokujūyon Sho! (Frappe)

Shikamaru: (Stoppe la technique) Go, Saku!

Sakura: Shanaro! (Frappe un énorme coup de poing)


Faisant confiance au livre pour montrer la fin du combat, il le referma, et regarda l'heure. Son ami devait arriver d'ici dix minutes... Il pouvait tenter. Il mit son réveil dix minutes plus tard, et ferma les yeux. Une fois de plus, il réussit à s'endormir à une vitesse incroyable. Mais à peine s'était il endormit qu'il se retrouva devant Uindoko, la bouche ouverte, sans rien dire...




Et voilà! Bientôt le prochain chapitre! En attendant, défoulez vous, ne vous retenez pas... critiquez! N'ayez pas peur de blesser, je ne le serais pas! (Surtout si vous argumentez xD) A bientôt!

Yo! Voici le chapitre 13! Le début de la deuxième manche! Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, bonne lecture!



Un peu plus tard, devant le manoir Hokage, l'arrêt de la première manche avait été sonné. Toutes les équipes étaient revenues, et attendaient le verdict. Chacun leur tour, elles passaient devant l'Hokage, qui prenait leur nombre de points, et qui, après avoir vérifié qu'il n'y avait pas de triche, les notait sur un tableau.

Bientôt, se fut fini. Les équipes qui n'avaient pas le bon nombre de cristaux furent invités à se séparer de leurs outils ninja jusqu'à la fin du tournoi, pour se mêler aux spectateurs. Puis, après un long discours digne des plus grandes cérémonies, elle annonça un changement de règle pour la deuxième phase du tournoi...

Tsunade: Quelques changements mineurs dans les règles vont devoir être respectés! Tout d'abord, ce ne seront plus les équipes qui se battrons, mais chaque ninja, contre tous! Bien sur, vous pouvez vous aider mutuellement, mais seuls les deux ninjas qui auront le plus de cristaux seront sélectionnés pour la finale!

(Chuchotements)

Lee: Elle les a tous pris par surprise! Gai-sensei! Vous le saviez et vous ne vouliez pas qu'on puisse se battre? C'est pour ça que nous avons perdu contre cette équipe d'Iwa?

Tout le monde: Chut!

Tsunade: Ensuite, la prochaine modification concerne vos jutsus. Vous pouvez tous les utiliser, sans exception. Fuinjutsu, Kinjutsus, tout est permis. Et d'ailleurs, vous êtes autorisés... (son regard prit une couleur étrange)... à tuer...

Tous les chuchotements disparurent, comme si ces mots avaient suffis à instaurer un silence parfait. Même les oiseaux ne chantaient plus. Pourtant, les ninjas avaient ressenti comme un soulagement. Enfin, ils allaient pouvoir se donner à fond...

Tsunade: Et je vous rappelle que le gagnant aura droit à un décret, appliqué, s'il est jugé viable et inoffensif, par Konoha et Suna. Pensez-y, et gambatte (Bonne chance)!

Sasuke sourit. Enfin, ça allait être possible. Tous le monde partit se cacher, et un feu d'artifice donna le départ. Sasuke se concentra, et utilisa une technique de repérage pour retrouver les 3 ninjas qui l'avaient accompagnés jusqu'alors, grâce à un sceau spécial. Il courut vers le premier, aussi discret qu'un écureuil volant une noisette à son voisin.

(Fchit)

Sa tête tomba. Il récupéra son cristal, bien que le concours lui même ne l'intéressa pas particulièrement. Il continua. Bientôt, le suivant fut en vue.

(Fchit)

Un cristal supplémentaire en poche ne le ralentit pas, et il put apercevoir la troisième tête qui l'intéressait.

(Fchit-ting)

Sasuke: Tu es le premier à me parer ce coup.

Kokyo: Peut-être suis-je plus puissant que ce que tu croyais?

Sasuke: Ne te fais pas d'idées. C'est bien plus que ça. Tu es un vrai ninja, et ça, ça me surprends. Mais pas suffisamment fort.

Kokyo: Nous verrons cela.

Sasuke: Je le vois déjà. Chidori nagashi!

(Schhhit)

Sasuke: Pitoyable... Maintenant, trouver Kakashi...





Et voilà! Alors? Qu'est-ce que vous en pensez?

Yo les gens! Voici le quatrième chapitre! Oui, je sais, ça fait longtemps qu'il devrait être écrit et publié... Mais c'est que je fais plein de choses! Enfin bon... Toujours est-il que le chapitre est là, alors... Bonne lecture!









Il secoua la tête. Ce n'était pas possible! Il regarda l'heure. 16 heures. Cela ne faisait qu'une heure qu'il dormait. Pourtant, cela faisait bien plus d'une heure qu'il s'entraînait. Ce manga était vraiment bizarre. Mais s'il était capable de faire durer tout le temps d'un chapitre de la même manière en une heure qu'en une nuit, peut-être le pouvait-il en moins de temps encore...

Il régla son réveil vingt minutes plus tard, se coucha, s'endormit avec la même vitesse, étant toujours aussi fatigué, et revécu son premier entraînement. Il ne manqua pas de noter à quel point il pouvait manquer de sang-froid. Quel mauvais dragueur! Il n'emballait pas du tout Uindoko... Hein? Emballer Uindoko? N'importe quoi... Yanis commençait à déteindre sur lui... Comme un peu plus tôt, après ses heures d'entraînement, il se réveilla en voulant aller parler à Naruto.

Et vingt minutes s'étaient écoulées. Il en était à présent sur. Tant qu'il dormait, il partait, et il revenait au bout du temps qu'il s'était accordé pour dormir. D'un côté, c'était magnifique. Il pouvait y aller quand qu'il voulait, tant qu'il dormait un peu! Mais en même temps... Cela signifiait qu'il ne pourrait plus dormir... Il ne tiendrait pas longtemps à ce rythme là... Surtout avec ses entraînements pour la manipulation du chakra...

Il se rappela la scène. Les yeux fermés, l'index et le majeur de chaque main levés, et cette sensation d'adrénaline déferlant d'un coup et s'arrêtant... Mais il avait l'impression d'avoir ce souvenir en double. Logique, vous direz vous, puisqu'il venait de le revivre une seconde fois...Cependant, bien que ressemblants, ils n'étaient pas les mêmes... Il y avait une différence infime. Infime, mais bien là. Il réfléchit un peu, mais ne trouva pas la différence. Il était trop épuisé pour réfléchir. Encore une fois, c'est logique, puisqu'il venait de vivre un second entraînement aussi épuisant que le premier... C'est aussi ce qui lui vint à l'esprit. Et c'est d'ailleurs aussi ce qui lui permit de comprendre...

Cette différence... Elle n'était pas visuelle, mais sensitive. Le chakra qui lui traversait le corps était plus fort dans le deuxième entraînement que le premier... Forcément, puisqu'il y était allé avec de meilleures bases... Donc forcément, il avait progressé. Et forcément, il pouvait malaxer une plus grande quantité de chakra. Et donc forcément, plus il y retournerait, plus il serait capable de malaxer du chakra!

Cela faisait beaucoup de "forcément". Surtout pour un monde illogique et inexistant. Puisque, de toute évidence, ce monde n'était pas réel.

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Flashback
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"La réalité, je dirais que c'est ce en quoi tu choisis de croire..."

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Fin du flashback
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"Non, Yanis. Je ne marcherai pas. La réalité c'est juste ce qui est vrai. C'est tout. Cet autre monde n'est donc pas réel."

Il s'était dis ça seulement pour se convaincre. Mais ça n'avait pas vraiment marché. Il secoua la tête, et s'assit sur le canapé, les yeux fermés, pour se reposer. Il espérait seulement ne pas s'endormir. Il ne s'endormit pas. Il entra dans une sorte de somnolence, où il avait conscience de ce qu'il se passait autour de lui, mais où il n'était pas capable de faire quoi que ce soit. Il entendait l'aquarium faire des bulles, le halogène allumé, les voitures qui passaient dans la rue, en bas, les oiseaux qui picoraient à la fenêtre... Sa respiration s'était nettement calmée. Il respirait lentement. Très lentement. Son c½ur battait à la même allure, et son cerveau n'avait plus beaucoup d'instructions à donner. Il se sentait beaucoup plus reposé. Enfin, il était au calme.

Il resta ainsi pendant plus d'une heure. Une incroyable heure, parfaite et reposante. Jusqu'à ce que le bruit d'une voiture familière ne le sortit de son semi-sommeil. Il ouvrit les yeux, secoua, une fois de plus, la tête, avant d'entendre le fracas de la porte d'entrée, que sa mère venait d'ouvrir.

"Bonjour Johan!
-Bonjour, maman.
-Tu vas bien?
-Ouais.
-Euh... J'ai reçu un SMS du lycée...
-Ouais, à propos de mon exclusion du cours de maths?
-Tout à fait. Qu'est-ce qu'il s'est passé?
-Ben j'étais super fatigué, j'arrivais pas à suivre le cours, alors voilà.
-Faudrait penser à dormir, la nuit.
-Ouais je sais... J'essaye..."

Il se leva, et s'étira. Il était arrivé à la parti la plus agréable, celle où on a envie de bailler en ouvrant grand la bouche et en laissant sortir une sorte de gémissement tribal, quand son portable sonna, avec le nom de Yanis inscrit dessus. Il décrocha, et après quelques mots, il raccrocha, remit ses baskets, et cria à sa mère qu'il partait chez son ami.

Il arriva, posa son vélo, comme d'habitude, sur le mur à côté de la porte, frappa, et attendit. Yanis ouvrit, il entra, posa son sac à côté de la télé, et il commença a discuter avec son pote. Très vite, la discussion dévia du sujet initial, pour arriver sur celui... du manga.

"T'en a pas marre de parler de ça? Demanda Johan.
-Non. Ce truc m'intéresse. Alors?
-Ben... J'ai découvert des trucs sympas. Déjà, quel que soit le temps pendant lequel je dors, je rêve de mon chapitre. Je peux donc en rêver pendant des heures entières ou quelques minutes seulement, tout en en ayant la totalité...
-Classe!
-Ensuite, quand on dort sans avoir écrit de chapitre, on refait le rêve.
-Oui, tu me l'avais déjà dit.
-Mais attends! C'est pas tout! À chaque fois, je reprends dans l'état dans lequel je suis avant de m'endormir.
-... Euh... Oui, et?
-Et ben! Si je m'endors, que je m'entraine à maitriser un jutsu, que je me réveille, que je me rendors, que je continue à m'entrainer, à chaque fois, je reprends comme si j'avais déjà toute l'expérience d'avant! Tu vois ce que je veux dire?
-Euh... Ouais, à peu près...
-Je pourrais passer pour un surdoué! Dépasser même Naruto!
-Pour être franc, je doute que tu puisses dépasser Naruto... Mais tu peux essayer, ça sera intéressant..."

Tout en discutant, il lui avait servi un verre de lait entier (pas du lait demi-écrémé ou pire encore, du lait écrémé, qu'ils considéraient tous les deux comme du "faux lait pour tarlouzes". Puis la fameuse boîte à gâteaux de Yanis fut ouverte, celle avec des barres de céréales, des biscuits au chocolat, des gâteaux fourrés avec de la confiture de fraise... Johan les apprécia énormément, plus encore qu'avant. En effet, rien n'ouvre plus l'appétit qu'un entraînement à la manipulation du chakra, tous les ninjas débutants le savent.

Après avoir discuté encore et encore, pour finir par se regarder le dernier épisode de Naruto Shippuden sous-titré, il fallut repartir. Il reprit son sac, remonta sur son vélo et rentra chez lui. Il rangea quelques affaires qui trainaient, s'assit sur son lit, et regarda l'heure. Il devrait surement aller manger d'ici une demi-heure. Qu'allait-il bien pouvoir faire? Question bête... Il régla son réveil sur les prochaines dix minutes, se coucha, et, comme il l'avait prévu s'endormit presque aussitôt, puis, après de brèves discussions, s'entraina, encore un peu mieux que la fois précédente. Il sentait sa capacité de chakra grandir, et grandir encore. Quand son réveil sonna, il recommença la man½uvre. Puis il se réveilla encore, remit son réveil, se ré-entraîna, jusqu'à ce qu'il soit réveillé non pas par son réveil, mais par sa mère, quelques minutes avant lui.

Il partit manger, et, une fois que ce fut fait, il remit ça. Entrainement, entrainement, entrainement... Lorsqu'il se réveilla pour la ixième fois, et qu'il constata qu'il était minuit et demi, il décida de s'arrêter là pour aujourd'hui. Il sentait la fatigue le regagner. Il essaya donc de se replonger dans l'état de somnolence qui lui avait permis d'être reposé. Il réussit à y rester pendant plusieurs heures. Elles suffirent à le reposer. Puis il reprit l'entraînement, jusqu'à ce qu'il soit l'heure de se préparer à aller en cours.

Il réussit à suivre normalement, sans trop dériver. Mais il avait une heure de trou au milieu de la matinée. Vous vous en doutez, il en profita pour faire cinq séances d'entrainement de dix minutes, réservant les dix minutes d'avant la récréation pour aller s'acheter une chocolatine (chez moi, on dit chocolatine, c'est ce qu'on appelle un pain au chocolat) à la boulangerie du coin. Croyez-moi ou pas, mais il apprécia sa chocolatine plus que n'importe laquelle, d'abord du fait de son entraînement intensif (car même si dans le monde réel ça n'avait duré qu'une heure de la matinée, sans compter la partie d'avant les cours, à chaque fois, il y passait plusieurs heures. L'effet de son entraînement complet était le même que s'il s'était entrainé pendant un mois du monde ninja) mais aussi parce que revivre la même chose au mot prêt des dizaines de fois d'affilée, ça finit par peser...

Mais il ne s'estimait toujours pas assez fort. Aussi, à la pause déjeuner, il avertit Yanis qu'il ne mangerait pas avec lui, qu'il avait quelque chose à faire. Il mangea tout seul, très rapidement, et, encore une fois, bien que la nourriture du self soit ignoblement dégoutante, il sut l'apprécier, plus qu'à sa juste valeur. (Beaucoup plus même...). Puis il se trouva un coin tranquille, régla son portable, et s'endormit. C'était vraiment fascinant de le voir s'endormir si vite. C'était même incroyable... Il fermait les yeux, et s'endormait en moins de cinq minutes... Même le bruit ne le dérangeait pas... Mais n'oublions pas qu'il était soumis à quelque chose de bizarre, et tout ce que nous en savons, c'est que ça a un rapport avec le manga.

Son réveil sonna pour la dernière fois avant les cours. Combien n'aurait-il pas payé pour remanger ne serait-ce qu'un biscuit! Mais il fallait aller en cours. C'était tout en haut... Personne dans les escaliers? Forcément, il était le seul à monter à l'heure... Il se dit qu'il pourrait tenter quelque chose... Il ferma les yeux, leva son index et son majeur et ressentit cette adrénaline impressionnante le parcourir. Il rouvrit les yeux, et réussit à conserver la sensation. Il se mit à courir. Vite. Très vite. Très très vite. Quelle sensation époustouflante! Il tenta de sauter à l'étage supérieur. Il savait que s'il ne réussissait pas, il se retrouverait tout en bas. Mais vous connaissez tous l'effet de l'adrénaline. L'impulsivité avait déjà prit le dessus alors qu'il n'avait même pas eu l'idée de ne pas sauter. Et il se retrouva sur l'étage du dessus. Il réussit à freiner, juste devant le mur. Ouf... Un peu plus et il avait le nez cassé... Il se remit à marcher normalement, et sentit l'adrénaline retomber. Ce fut un soulagement. Il était aussi capable de la stopper... Et on pouvait bel et bien utiliser des techniques ninja dans le monde réel. La preuve était, en plus de sa course phénoménale, son prodigieux saut...

Il finit sa journée de cours, et rentra chez lui. Il sauta sur le téléphone fixe (l'illimité coute moins cher que le hors forfait) et appela son ami.

"Yanis?
-Ouais. Je t'ai pas vu aujourd'hui. Pourquoi t'es pas venu manger?
-Désolé, je m'entraînait. Et figure toi que ça porte ses fruits!
-Vraiment?
-Oui! J'ai monté les escaliers pour aller en Histoire-Géo à en moins de cinq secondes! Et j'ai sauté du milieu du quatrième au cinquième!
-T'es sérieux?
-Oui! Je suis trop content! Je crois que ce soir, il va y avoir un nouveau chapitre de manga!
-Ok! Tu me diras tout!
-Ouais, t'inquiètes!
-C'était pas une question"

Il discutèrent encore un peu, puis Johan courut... vers le frigo, et se prépara une bête de goûter, dont je ne décrirais pas le menu, puisque trop long... Une fois (enfin) rassasié, il ouvrit son manga et dessina sa page.

Neji: Attendez! Vous avez entendu?

Aimaru: Oui... On nous suit... ça fait presque une heure maintenant.

Sasuke: Regarde ce que c'est, mais ne vous arrêtez pas. Il ne doit pas savoir qu'il est repéré.

Neji: Byakugan!

Aimaru: Alors?

Neji: Un seul individu. Il ne porte pas de bandeau, mais il a l'air rapide. Vu sa vitesse, il nous aura rejoint d'ici une demi-heure. Et... Il a un chakra... exceptionnel...

Sakura: On peut peut-être lui tendre un piège pour le ralentir. C'est facile à faire.

Shikamaru: Mais il saurait qu'il est repéré. Non. S'il faut lui faire un piège, ce que nous devrons surement faire, il nous faudra l'attendre et l'attaquer avant que lui ne le fasses.

Sasuke: Tu as raison... Mais pour le moment, accélérons. Plus vite nous avancerons, moins nous aurons de chance de nous faire arrêter tôt. D'autant plus que nous avons passé la frontière il y a un peu plus d'une heure.

Neji: Il a aussi accéléré. Je pense qu'il suit nos mouvements.


Il laissa les pages finir de se dessiner, et ferma son manga. Puis, comme il le faisait depuis la veille, il régla son réveil, le brancha, voyant qu'il n'y avait presque plus de batterie, et s'allongea sur son lit. Il fallait reconnaître que c'était plus confortable que de s'asseoir contre les murs du lycée... Il ferma les yeux, et, évidemment, il s'endormit...

Il rouvrit les yeux et referma la bouche. Il savait précisément ce qu'il allait dire, à force de le vivre encore et encore, il avait eu le temps d'y penser.

Johan: Naruto-sensei!

Naruto: Une minute, Johan. J'arrive.

Quelques minutes passèrent, et Naruto laissa sa fille et le fils de son meilleur ami ensemble.

Naruto: Comment se passe ton entraînement?

Johan: Pas trop mal... "C'est fou ce que je peu être hypocrite..." J'avais une question à te poser. Comment se fait-il que tu n'aies que deux élèves? Normalement, tu ne devrais pas en avoir trois?

Naruto: Si, en effet. Mais un de mes élèves, Inuzuka Seishun, est parti pour une... mission spéciale.

Johan: Inuzuka Seishun? Le fils de Inuzuka Kiba et Inuzuka Tenten?

Naruto: (Sourit) En effet... J'avais oublié à quel point tu étais renseigné... Passons. Voyons voir si je peux te corriger et t'aider. Malaxe ton chakra.

Johan sourit. Le moment était arrivé. Cette fois, il pourrait vraiment se la péter. Il ferma les yeux, leva l'index et le majeur, et, quelques secondes plus tard, il sentit la sensation de chakra l'envahir. Il rouvrit les yeux, et Naruto parut stupéfait.

Naruto: C'est bien, très bien même. En si peu de temps, arriver à ce résultat, c'est digne d'un surdoué. Mais c'est encore peu. Si tu continues à travailler comme ça, tu vas devenir excellent. Tu pourrais bien devenir un vrai ninja, finalement.

Johan: Alors je vais continuer à travailler.

Naruto: Tu feras ça plus tard, pour l'instant, tu peux déjà commencer à apprendre les bases. Pour commencer, le Bunshin no Jutsu. (Technique de clonage)

Johan écouta attentivement les conseils de son Sensei. Il devait travailler à fond tant qu'il le pouvait, afin de rendre son travail ultérieur plus efficace. Il essaya. Il y eut un nuage blanc, typique des invocations, téléportations et clonages, et dès que le nuage de fumée disparut, il constata qu'il cachait... rien. Il n'y avait que le nuage blanc! Impossible... Il recommença. Même chose. Et encore. Et encore. Plusieurs fois, il n'y eut que le nuage de fumée. Mais au bout d'un moment, il commença à apercevoir une silhouette, qui disparaissait presque en même temps que le nuage. Il savait que c'était un Bunshin. Il pouvait le faire. Il en était sur.

Il continua, encore et encore, essayant de malaxer le plus de chakra possible. Pouf! Un nuage blanc. Pouf! Encore un nuage blanc. Pouf! Et ça recommençait. Durant quelques heures encore. Et puis le soleil commença à se coucher. Il fallut donc cesser l'entraînement. Ils rentrèrent tous chez Naruto, Uindoko parce que c'était chez elle, Gōryoku parce qu'il devait dormir là bas, et Johan parce que... il ne savait pas où aller d'autre. Il n'avait pas d'argent, et pas d'argent, pas d'hôtel, pas de nourriture. C'est pourquoi le blond, généreux de nature, lui avait dit qu'il pouvait rester chez lui. Gōryoku avait eu une espèce de regard bizarre, que Johan compris clairement.

Gōryoku: "Il peut pas nous lâcher, celui là?"

Johan n'en tint cependant pas rigueur. Il fit comme si de rien n'était, bien qu'il sente l'atmosphère tendue. Naruto aussi s'en rendit compte, mais se garda d'en parler, connaissant le tempérament impulsif du fils de son meilleur ami, et préférant voir comment la suite allait se dérouler. Ils arrivèrent, et Naruto indiqua à Johan de quel côté de la table il devait s'asseoir. Celui-ci réfléchit une seconde avant de se rappeler qu'au japon, il n'y avait pas de tables hautes dans les maisons, et que donc, de toute évidence, il fallait s'asseoir par terre, qu'ils mangeraient sur cette table basse. Ce fut confirmé par Ino qui s'assit, bientôt suivie des autres.

Chacun se servit, et Johan imita les autres. Lorsque l'on est pas habitué à une culture, même si elle nous passionne, il est parfois difficile de s'y adapter sans gêne. Il y arriva cependant. Une fois le repas terminé dans un silence quasiment complet, mis à part les quelques conversations entre Naruto et son épouse, Gōryoku se leva et sortit, pendant que Ino et Uindoko levaient la table, comme le veut la culture japonaise traditionnelle. En effet, même Naruto, qui était très amoureux de sa femme et qui n'avait aucune tendance machiste, n'aidait pas. Johan suivit donc l'exemple. Puis, au bout de quelques minutes pendant lesquelles Johan n'avait cessé d'observer la maison, les cadres, et spécialement la cheminée au dessus de laquelle le dessin et le contrat de mariage étaient affichés (voir l'épilogue de la fic "Les vacances"), Naruto prit la parole.

Naruto: Tu as l'air intéressé par notre cheminée.

Johan: Et bien... C'est surtout que je sais que ce qu'il y a accroché au dessus a beaucoup de valeur...

Naruto: Tiens-donc... Qu'est-ce qui te fait dire ça?

Johan: Et bien... Le dessin date de vos vacances, n'est-ce pas? Tu l'as offert à Ino, et tu lui as dit que ça voulait dire que tu l'aimerais toujours. Je me trompe?

Naruto: Non. Mais c'est...

Uindoko: Kawaii! Pourquoi tu ne m'avais pas raconté ça? C'est trop beau!

Naruto: (Se gratte l'arrière de la tête) Disons que...

Uindoko: (Le coupe) Et comment ça se fait que lui il est au courant et pas moi?

Naruto: -___-" C'est une des choses que j'aimerais savoir, puisque je ne lui ai rien raconté...

Johan: "Dans quels draps me suis-je mis... Je pouvais pas me la fermer comme tous les gens sensés?"

Uindoko: (Se tourne vers Johan) Alors comment tu sais ça?

Johan: Et bien... Il paraît que je suis habile pour deviner certaines choses...

Naruto: "C'est très peu satisfaisant comme réponse... Tant pis. Pour l'instant, laissons faire."

Uindoko: Et tu sais d'autres choses sur l'histoire romantique de mes parents?

Johan regarda Naruto avec un air interrogateur. Celui-ci fit oui de la tête. Il commença à raconter quelques anecdotes qu'il se souvenait. Ino s'était assis à côté de son mari, car l'évocation de ces souvenirs leurs rappelaient bien des choses... Uindoko semblait très intéressée par le récit. Mais l'heure tournait, et le lendemain, il fallait être en forme pour l'entraînement. Aussi, Johan demanda où il allait dormir. On lui installa un futon (une sorte de matelas servant de lit, bien plus commun que les lits européens au Japon) dans la chambre d'amis, à l'opposé de celui qui était destiné au Uchiha. Il ferma les yeux et... s'endormit, enfin...






Et voilà! Oui, il s'endort dans son rêve. Faut bien qu'il dorme, de temps en temps! Enfin bon. Vous verrez bien la suite. J'ai quelques idées...

A bientôt!

Tchous'

Yo les gens! Une fois n'est pas coutume, voici un One-shot pas romantique! Juste l'histoire du début du monde telle que nous l'enseigne le manga, un peu remasterisée à ma façon ^^ J'espère que vous aimerez!

Bonne lecture!





Le début du monde
Théorie Hi no Kuni.

Extraits du livre d'histoire du Ninjutsu de Konohagakure no Sato

"Il y a des millions d'années, le monde se composait de deux choses. La première était le vide. La plus grande chose ayant jamais existé. Quelque chose de tellement puissant qu'il aspirait tout ce qu'il pouvait, espérant se combler, mais ne faisant que s'agrandir. Mais il n'avait qu'une seule chose à aspirer. Une sorte de fluide, mélange de pouvoir, de sensation, et d'équilibre. C'est ce que l'on appela "chakra". Ce chakra, donc, avait une conscience, et désirait plus que tout rester, et cesser d'être attirer par ce vide incommensurable. C'est alors que commença la création de notre univers."

Il se leva, et contempla cette chose bleue au dessus de lui. Qu'était-ce? Il réfléchit. Comment pouvait-il appeler cette voûte qui le survolait? Et pourquoi pas... "Ciel"? Oui. C'était parfait. C'était fait pour s'appeler le "ciel". Il contempla donc le ciel avant de marcher. Il marchait sur quoi? Quelque chose de rocailleux, dur, plus dur encore que cette matière qui le composait. Il décida que c'était le sol. En regardant avec un peu de recul, on comprend aisément que ce sol sur lequel il marchait était le même partout autour de lui. De la roche, dure, mais surtout, coupante par endroit. Après une brève réflexion, il en conclut que s'il y avait eu quelque chose de vert, et de mou, posé sur ce sol, avec une couche qui ressemblerait à ce sol, mais en moins coupant, pour ne pas abimer ces choses vertes...

"Le chakra se concentra en un point précis, que l'on appèlera l'univers, et créa des centaines de galaxies, d'étoiles, de planètes. Elles étaient dures, comme la force du chakra, mais tout aussi équilibrées. Sur la planète la plus parfaitement équilibrée, il se concentra encore, et encore, et encore, jusqu'à donner ce que, plus tard, on appela "l'homme". Mais ce n'était pas assez. Aussi, il continua de ce concentrer en lui, lui donnant, en plus d'un peu de sa force, des sensations, et de l'équilibre. Mais cela ne suffit toujours pas. Il termina de ce concentrer dans ses yeux, faisant naître la toute première technique, le tout premier dōjutsu, le Rinnegan. Cet homme fut par la suite appelé "Rikudō Sennin" (Le Sage des Six Chemins). On le nomma ainsi à cause des 6 pouvoirs engendrés par son dōjutsu, qui lui permit de finir de créer le monde, et toutes les techniques ninjas."

A sa grande stupéfaction, le sol devint mou, il sentit son pied s'y enfoncer légèrement. Il le leva, et constata qu'en effet, une chose verte avait poussé, sur quelque chose d'un peu plus mou qu'avant. Un nom s'imposa alors à son esprit. L'herbe. Cette chose verte et longue s'appelait l'herbe. Et ce sol marron? La terre. Cela lui paraissait évident. Il voulu voir plus loin. Il pensa que l'idéal serait de monter. Et il monta. Rien ne montait sous lui, mais lui, il montait. Comme si, d'un coup, cette chose qui le tirait vers le sol (Pourquoi pas la gravité?) s'estompait... Il regarda au loin, et vit que tout était exactement pareil. Il se déplaça, et, de son doigt, il traça une ligne imaginaire, qui, après maintes courbes, voyait ses deux bouts rejoins. Au Cette ligne pris forme au milieu de la terre, qui commença à bleuir, et bleuir encore, jusqu'à devenir un peu plus foncé que le ciel, mais d'un bleu très pur. Ça serait... l'eau. Il s'en approcha, et se vit dedans. En y réfléchissant, il se dit qu'il serait bon de savoir à quoi il ressemblait. Il se rapprocha, et vit dans ses yeux quelque chose qu'il ne considéra pas normal, bien qu'il n'en ai jamais vu d'autre...

"Le Rinnegan était, contrairement aux dōjutsus que nous connaissons aujourd'hui, tellement grand qu'il couvrait l'ensemble de l'½il de cercles concentriques, au nombre de 6. Chaque cercle possédait un des six pouvoirs du sage, et, ensembles, ils conféraient au Rikudō Sennin un pouvoir plus grand encore. Celui de donner vie à tout ce qu'il imaginait. Ainsi, il imagina les arbres, l'herbe, l'eau, le ciel, la terre, le chaud, le froid, les animaux, les insectes, avec une sagesse digne de l'équilibre du chakra. Après avoir donné un nom à tout, il se concentra sur lui même, car, comme tout les humains, il voulait savoir d'où il venait, pour en conclure où il allait. Ces recherches l'emmenèrent à la compréhension parfaite du chakra. Tout ce qui l'entourait était composé de chakra, que ce soit le sol qui existait déjà, celui qu'il voyait dans les montagnes, celui qu'il sentait dans les animaux, celui qu'il entendait siffler entre les arbres. Il comprit qu'il ne faisait pas exception, et il chercha d'autres manière que le Rinnegan pour exploiter cette puissance."

Il tenta de refaire apparaître cette boule bleue, sans se servir de ses yeux. C'est la raison pour laquelle il les avait bandés. Il sentit que quelque chose apparaissait dans sa main. Et cela tournait à une vitesse incroyable. Concentrer cette puissance en un point fixe... Ne pas faire tourner ça que dans un sens... Là... Il enfonça sa main dans le sol, et, entendant un impressionnant bruit, il retira son bandeau. Quel choc ce fut lorsqu'il découvrit que là où sa paume avait été posée, il y avait un trou énorme! Même le sol dur avait été ravagé! Cette technique était prête. Pourquoi cherchait-il ce genre de techniques? Il ne le savait pas, mais après tout, c'était un humain comme eux d'aujourd'hui. Et les humains ont toujours aimé faire la guerre. Aussi, il créa des hommes, comme lui à quelques points près, à qui il donna à chacun un rouleau de feuilles séchées, travaillées, jusqu'à en faire les premiers parchemins, contenant toutes les techniques qu'il avait trouvé. Il leur enseigna sa lecture, son écriture, son histoire, le chakra, et leur assigna un coin du monde. Mais il les retint au dernier moment. Il avait autre chose à leur confier...

"Nul ne sait ce qui poussa le Rikudō Sennin à créer la femme. Cependant, il le fit, et il s'avéra que ce fut d'une grande sagesse. En effet, la femme qui alors était encore considérée égale à l'homme, ne faisait pas pour autant les mêmes choses que lui. Il s'avéra que l'homme voulait se battre, et que la femme, choisissant des travaux moins pénibles, décida qu'elle entretiendrait la maison en attendant le retour de l'homme. D'ailleurs, l'homme aurait été bien trop peu intelligent pour s'acquitter intelligemment de ces tâches... Ainsi, l'origine du machisme actuel n'est pas le sentiment de supériorité de l'homme, mais l'intelligence supérieure de la femme, à cette époque. Sans doute le sage avait-il prévu que cela se passerait comme ça... Cependant, on ne sait pas non plus pourquoi il décida que les femmes porteraient les enfants... Peut-être, suggère une rumeur, s'est-il identifié comme les autres hommes, et n'a pas supporté l'idée de souffrir autant..."

Il invoqua une grenouille, et, après avoir contemplé son ½uvre, il lui donna un caractère bien spécial, en lui disant qu'il serait le seul à être ainsi.
"Au revoir, Gamabunta."
Et il le révoqua. Cette personnalité fit de cette grenouille la grenouille la plus puissante. Il se dit d'ailleurs qu'en son hommage, il devrait créer un être semblable, mais moins intelligent. C'est ainsi que la petite grenouille qui vit aujourd'hui, dans notre monde, prit vie. Il fit de même pour Manda, un serpent parlant, qu'il recopia pour en faire le serpent de notre monde, et pour la limace, Katsuyu, qui se vit à son tour recopiée.

"Pourtant, le chakra n'était pas encore satisfait. Il était encore trop à l'état de fluide. Aussi, en plusieurs endroits du monde, se formèrent 10 monstres, très puissants, de telle manière que même Rikudō Sennin n'avait pas autant de chakra. Cependant, il fallu bien que le chakra soit partagé, et il ne le fut pas équitablement. Leur puissance fut visible au nombre de leurs queues. Le moins puissant, le "Ichibi", c'est à dire "une queue", était donc le moins puissant. Il vivait dans une des étendues de sables que le sage avait instauré dans sa création du monde. C'était ce que l'on appelait un Shukaku, qui n'a pas d'équivalent vivant, mis à part lui même. Le Nibi (deux queues), ressemblait à un chat, et était un peu plus puissant. Sanbi (trois queues), qui était encore un peu plus puissant, ressemblait à une tortue. Yonbi (quatre queues), le singe, en possédait encore plus, et ainsi de suite pour Gobi (cinq queues), l'hybride cheval à tête de dauphin, Rokubi (six queues), la limace, Shichibi (sept queues), le coléoptère, Hachibi (huit queues), le taureau, et Kyūbi (neuf queues), le renard. Mais il y en avait un dernier, plus puissant encore que tous les autres réunis. Le Jūbi, être infâme, possédant dix queues, mais dont la puissance avait largement prit le dessus sur l'équilibre..."

Il sentit comme un pressentiment. Il fallait qu'il en soit sur... Il le fut rapidement, puisqu'un homme arriva, en courant, presque nu, et avec un corps dans un piteux état. Lorsqu'il lui demanda ce qu'il se passait, il lui parla d'un gigantesque renard, dont le nombre de queues était de neuf, qui avait ravagé son habitation, sa femme et ses enfants. Il comprit que ce n'était pas le seul être de la sorte. Il y en avait donc. Il décida de créer une espèce spécifique, qu'il appela chiens, pour rechercher toutes les informations qu'ils le pouvaient. Cela se passa très rapidement. En quelques heures, il apprit l'emplacement de chacun de ses monstres. Il partit vers celui qui semblait le moins fort. Celui-ci jura de rester dans son désert tant qu'on ne le dérangerais pas. Il négocia ainsi avec plusieurs Bijus, puisque c'est ainsi qu'il les appela, leur créant au besoin une porte vers un autre monde, comme pour le Sanbi. Mais Kyūbi, le renard, se montra plus réticent. Il dut se servir de son Rinnegan pour le convaincre. Kyūbi parut inquiet en voyant ces yeux. Cependant, il dit au sage qu'il n'avait pas la moindre chance contre le dernier Biju, et que ses yeux en étaient la preuve.

"Aucune description exacte du Jūbi n'est possible, mais les Uchiha nous ont dévoilé que, d'après une inscription laissée par le Rikudō Sennin, il avait un seul ½il, dont la particularité était qu'il semblait être une fusion du Rinnegan et du Sharingan. Cet ½il faisait de ce monstre un véritable drame pour le monde. C'est pourquoi le sage décida que ce monde qu'il avait créé méritait d'être sauvé, même si sa vie devait en être le prix."

En effet, lorsqu'il se retrouva face au dernier Biju, le Jūbi, il comprit ce qu'avait voulu dire le renard. Ce monstre, doté de 10 queues et d'un ½il unique, était effrayant. Son ½il était rouge et noir. Il possédait les six cercles du Rinnegan, mais dedans tournaient, sur chaque cercle, trois "virgules" noires, que l'on appela tomoes. Il bougeait à une vitesse impressionnante, et semblait anticiper toutes les attaques possibles et imaginables. Mais il réussit cependant à le toucher. Il évita une de ses queues, qui avait tenté de le frapper, et avait posé un sceau dessus, d'une infime discrétion. Cependant, l'½il du Biju l'avait vu.
"Qu'est-ce que c'est?" Cria-t-il de sa voix grasse et sifflante à la fois.
Il rapprocha son ½il de cette marque noirâtre. D'un coup, le sage disparut de la où il était, pour réapparaître à la place du sceau, et, après avoir exécuté en une fraction de seconde une centaine de signes différents, il frôla l'½il de son adversaire avec son doigt. Puis il disparut, et réapparut sur une autre marque, située sur le sol un peu plus loin. Il ne put éviter tout les coups que le monstre, en colère, se mit à donner. Et il était presque mort, lorsque, alors que le monstre ne s'y attendait pas, il se téléporta, (puisque c'était ce qu'il faisait depuis la première marque), juste derrière la tête du Jūbi, et posa un doigt sur son crâne. Il fit encore une centaine de sceaux, et il sentit une douleur déchirante au creux de son ventre. Sur le coup de la douleur, il s'évanouit.

Lorsqu'il se réveilla, le monstre était étendu par terre. Il en déduit que sa technique avait marché. En effet, il se releva d'un bond, plein d'une toute nouvelle puissance. Il ouvrit l'½il du Biju, et, après avoir réfléchit, il exécuta quelques signes, et plaqua sa main dessus. Les "virgules" disparurent, ainsi que le fond rouge et les six cercles. Puis il saisit la carcasse du monstre, et, à l'aide de cette nouvelle puissance qui semblait infinie, il la lança loin, très loin, très haut. Si bien qu'elle atteignit le ciel. Il l'enveloppa d'une matière semblable au sol originel, et il appela ça la lune. Quelques années plus tard, il sentit qu'il devait faire quelque chose. Il traça des lignes sur le sol, semblables à deux hommes côtes à côtes, l'un un peu plus grand que l'autre. Il commença par le plus grand. Il ferma les yeux un instant, et les rouvrit peu après. Une silhouette se leva des lignes, et prit, peu à peu, des couleurs humaines. Il avait de grands cheveux noirs et des yeux noirs. Le deuxième se leva à son tour. Il semblait légèrement plus jeune. Il avait les cheveux plus court et lisses, et un regard tendre. Il les fit s'entraîner. Il leur partagea ses pouvoirs.

"Les deux fils du sages sont ceux qui formèrent plus tard les clans Uchiha et Senjū. L'ainé reçut de sa part toute sa force, et le dōjutsu volé au Jūbi appelé le Sharingan, et il donna à son cadet la sagesse, ainsi que sa maîtrise parfaite du chakra. N'ayant pas accompli son rêve de re-pacifier le monde qu'il avait mit en guerre, il leur dit que l'un d'eux devrait le remplacer, et continuer son ½uvre. Soit par la force, soit par la sagesse. Après les avoirs entraînés, il décida de confier cette mission au cadet, qui fonda le clan Senjū, se mettant à la base du conflit qui opposera plus tard les deux clans, qui fondèrent le village de Konoha, au sein du pays du feu."

Il réalisa l'erreur qu'il avait faite en voulant choisir entre ses deux fils. Mais il ne pouvait pas revenir en arrière. Alors il partit en ermite, essayant de créer une nouvelle technique qui lui permettrait de se faire pardonner. Il travailla beaucoup, et, en même temps, prit une tablette de pierre, et y grava d'une manière spéciale plusieurs inscriptions. Ayant étudié le Sharingan, il connaissait tous ses secrets. Il écrivit une partie de son histoire de manière à ce qu'elle soit lisible par un utilisateur du Sharingan, une autre pour qu'une technique liée au Sharingan, qu'on appela Mangekyō Sharingan, puisse lire aussi, en plus de la première partie, et, il finit ses explications de manière à ce qu'un Rinnegan soit le seul dōjutsu à pouvoir tout lire. Car, même si personne n'avait été formé au Rinnegan ou n'en avait hérité, il ne doutait pas qu'un jour il puisse être reproduit. Il offrit la tablette et la technique d'espace-temps qu'il avait créée à son fils ainé, et le pria de pardonner sa faute. Celui-ci accepta les cadeaux, et jura qu'il n'était pas en colère contre son père. Soulagé, il partit, utilisant la technique d'espace-temps pour disparaître de ce monde, de telle sorte que personne, mis à part son fils, ne puisse le retrouver...

"Le Rikudō Sennin disparut sans explications. Bien que personne ne sache ce qu'il est vraiment advenu de lui; tout laisse imaginer qu'il n'est pas complètement mort. On connait mal les pouvoirs qu'il possédait, et il est tout à fait possible que, dans ses longues recherches, il aie découvert le secret de la vie éternelle. Ce qui amène à cette hypothèse, c'est ke fait que de nombreuses évidences nous sautent aux yeux, au milieu de ce que nous connaissons déjà, et que certains prétendent, sans pouvoir le prouver, avoir vu un homme dont les yeux étaient composés de cercles grisâtres. Pourtant, il serait plus plausible que, sentant sa mort approcher, il aie décidé de se cacher, afin de rejoindre l'autre monde en paix, libérant ainsi son âme de la pression apportée par les hommes, ceux qu'il avait créés, et dont nous sommes les descendants, ceux-là même à qui il avait confié le pouvoir de se battre...

CHAPITRE D'HISTOIRE NUMERO 5: LES GRANDES GUERRES..."




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